La Commune.
Cette période si connue du français moyen, donc de moi. Non je déconne, la Commune, cette courte période du 19ème siècle que 3 prof d'histoires enseignent encore et dont j'ai vaguement entendu parler à la télé mais jamais en classe. Pourtant, c'est un moment hyper fort de notre histoire, celui d'une mini guerre civile.
C'est tout pile pendant ces temps hyper troublés que se joue la pièce dont je voudrais vous parler aujourd'hui.
C'est au printemps 1871, donc, à Paris, en pleine Commune, qu'un policier est chargé de retrouver une jeune femme qui a disparu. A première vue, étant donné la situation insurrectionnelle en cours, c'est le type d'enquête qui devrait pourtant être retardé sine die. Mais non, la disparition de cette fille de bourgeois va occuper l'opiniâtre policier jusqu'à la résolution du mystère alors qu'autour, Paris est à feu et à sang, opposant les militaires de l'Etat exilé à Versailles avec les parisiens sur les barricades.
Et c'est là pour moi l'inspiration géniale des deux auteurs. On ne va pas subir une lourde description historique, on va suivre une enquête. Et s'accrocher jusqu'au bout des 2h30 de spectacle (oui, -et c'est le seul point qui pourrait rebuter- c'est un peu long. Mais pour être sincère, à part un monologue vers la fin, je n'ai pas eu la sensation que c'était long) à la trame de cette histoire, pendant que mine de rien, au fil des rencontres ou des rebondissements de l'affaire, on nous raconte la Commune.
Les personnages sont pour certains très attachants, pour d'autres drôles ou encore méprisables. Les liens entre eux tous fonctionnent parfaitement. Et l'histoire aussi, j'avais vraiment envie de comprendre la clef du mystère. En plus, il y a du monde sur scène, l'effet du soulèvement populaire est d'autant mieux rendu par la foule de personnages qu'on croise.
Si vous avez vous aussi envie de passer un chouette moment de théâtre dont on sort avec des connaissances en plus sur l'histoire, que vous aimez les enquêtes, les pièces en costumes et le théâtre, prenez vos places ! Ils sont de retour du 14 au 19 septembre au théâtre de Ménilmontant.
C'est au printemps 1871, donc, à Paris, en pleine Commune, qu'un policier est chargé de retrouver une jeune femme qui a disparu. A première vue, étant donné la situation insurrectionnelle en cours, c'est le type d'enquête qui devrait pourtant être retardé sine die. Mais non, la disparition de cette fille de bourgeois va occuper l'opiniâtre policier jusqu'à la résolution du mystère alors qu'autour, Paris est à feu et à sang, opposant les militaires de l'Etat exilé à Versailles avec les parisiens sur les barricades.
Et c'est là pour moi l'inspiration géniale des deux auteurs. On ne va pas subir une lourde description historique, on va suivre une enquête. Et s'accrocher jusqu'au bout des 2h30 de spectacle (oui, -et c'est le seul point qui pourrait rebuter- c'est un peu long. Mais pour être sincère, à part un monologue vers la fin, je n'ai pas eu la sensation que c'était long) à la trame de cette histoire, pendant que mine de rien, au fil des rencontres ou des rebondissements de l'affaire, on nous raconte la Commune.
Les personnages sont pour certains très attachants, pour d'autres drôles ou encore méprisables. Les liens entre eux tous fonctionnent parfaitement. Et l'histoire aussi, j'avais vraiment envie de comprendre la clef du mystère. En plus, il y a du monde sur scène, l'effet du soulèvement populaire est d'autant mieux rendu par la foule de personnages qu'on croise.
Si vous avez vous aussi envie de passer un chouette moment de théâtre dont on sort avec des connaissances en plus sur l'histoire, que vous aimez les enquêtes, les pièces en costumes et le théâtre, prenez vos places ! Ils sont de retour du 14 au 19 septembre au théâtre de Ménilmontant.