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[JUB] DM Stith / Shearwater

14.5.09 mis en ligne par Fred



J’avais besoin d’aller voir un concert ce soir-là.

Et si j’avais bien repéré il y a quelques semaines que Shearwater passait ce jour-là à Paris, je ne l’avais pas vraiment noté pour autant.

Mais ce soir-là, j’avais besoin de m’aérer les neurones, et si possible de les apaiser avec de la musique. Et un petit tour sur last.fm me rappelle la venue des cinq texans à une dizaine de minutes à pied de chez moi. Il me précise aussi qu’ils sont accompagnés d’un certain DM Stith dont j’ai vu passer le nom ici ou là ces dernières semaines, et dans ma mémoire confuse, accompagné d’avis plutôt dithyrambiques.
Et des les premiers accords de Pity Dance, que je partage ici, il se dégage de ce bonhomme-là une aura qui ne retombera pas un instant durant ce set d’une demie-heure.



Une chouette interview de l’animal se trouve sur le site popnews.

Et allez faire un tour sur sa page myspace pour vous faire votre propre opinion.

Personnellement, vu la claque prise, j’ai même acheté son album sur ITunes ce matin.

Et pas par peur du gendarme Hadopi!
Et après ça, débarque ces cinq texans de Shearwater que le Café de la Danse attendait.

Et eux aussi, je les ai aussi beaucoup aimé.

Le charisme individuel, et quelque peu hétérogène, de chacun de ces cinq musiciens se fondant étrangement dans une unité de groupe indiscutable.

Une musique tantôt épurée, tantôt saturée, et dirigée par la voix planante de Jonathan Meiburg.

C’est toute l’énergie qu’il me fallait pour cette soirée-là!
A noter pour les parisiens que DM Stith assurera la première partie de The Acorn à la Maroquinerie, ce Vendredi 15 Mai 2009!

Une note de JUB


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[JUB] Résidence Jarvis Cocker

6.5.09 mis en ligne par Fred



J’ai quelques héros.
Quelques-uns de ces êtres humains dont j’admire tellement certaines œuvres que je serais capable de défendre n’importe quelle autre production merdique, excuser voire même expliquer n’importe lesquels de leurs agissements de terriens.
Et Jarvis Cocker fait partie de ces quelques-uns.
Alors bien sûr, quand il a annoncé la semaine passée cette initiative originale de résidence dans une galerie de Montmartre, j’en frétillais d’avance !
Le fil rouge de la semaine est de répondre à la question “Qu’est-ce que la Musique ?” à travers un évènement musical qui serait une œuvre d’art vivante.
Ainsi quand je suis entré dans la galerie en cette fin d’après-midi, Jarvis et son groupe improvisaient un thème musical pour accompagner la séance de yoga qu’un enseignant donnait à trois jeunes femmes.
Demain Mercredi, les deux premières heures seront consacrées aux enfants, dont les activités seront aussi enrobées musicalement.
Ensuite, Jarvis et son groupe invitent ceux qui le souhaitent à venir avec un instrument pour improviser avec eux.
Par ailleurs, tout au long de la semaine, chacun est invité à laisser sur un cahier, un mot, une phrase, une situation à partir de laquelle le groupe pourrait tricoter une atmosphère musicale.
Le programme plus détaillé de la semaine est par ici, mais reste largement sujet à variation et improvisation.
Et pour conclure chaque journée, Jarvis et son groupe (incluant notamment Steve Mackey, le légendaire bassiste de Pulp) jouent leurs morceaux les plus récents, de façon plus ou moins préparée, comme en témoigne la vidéo saisie cette après-midi.

Cela se passe Galerie Chappe, 4 rue André Barsacq, Paris 18e, et c’est jusqu’à ce Dimanche 10 Mai 2009, avec notamment Samedi soir un concert en plein air devant la galerie.
Ne serait-ce que pour approcher une légende, allez-y !
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[jub] Matt Bauer / Troy Von Balthazar

18.4.09 mis en ligne par Fred

C’est un concert où j’ai décidé d’aller parce-qu’il m’était chaudement recommandé. Ici ou

A peine entré dans l’enceinte du Nouveau Casino, je suis séduit par l’ambiance qui y règne.
Matt Bauer est déjà sur scène, et colore de sa voix rauque le côté exclusif et intimiste qu’offre cette salle.

Arrivent quelques morceaux au banjo, comme ce Florida Rain que je partage ici, qui envoie mon esprit dans quelque désert rocailleux de je-ne-sais-quel coin du fond des états-unis.

L’ensemble du set est de cette veine délicate, et m’autorise à voguer sur la houle de quelques rêves.
Et puis, j’avoue avoir une admiration particulière pour ces musiciens capables de tenir une audience tout seuls.
Alors quand Troy Von Balthazar prend le relais de Matt Bauer, je suis aussi, peut-être avant tout même, subjugué par sa facilité à faire un set d’une musique si complexe, tout seul sur scène pendant une heure.
Bien sûr, il ne s’agit que de technique.

On sample un passage de guitare par ici, une voix par là, on apporte un enregistrement etc…

Mais je suis très sensible à cette capacité de transformer la technique en émotion…

Et cette voix… C’est la voix d’un homme qui chanterait pendant qu’il fait l’amour…

Grandiose…
Pour autant, j’aimerais vraiment pouvoir le revoir sur scène, supporté par d’autres musiciens.

Car je crois que, libéré de certaines contraintes techniques, sa performance scénique en bénéficierait grandement.
Quoiqu’il en soit, ce sont deux merveilleux artistes que j’ai vu là.

Allez donc faire un tour de ma part sur leur page myspace

Matt Bauer

Troy Von Balthazar
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[Donjipez] Leonard Cohen, comme une nuit d’été en live

8.4.09 mis en ligne par Fred
Donjipez, depuis le temps que je lui tournais autour à ce stakhanoviste de la note bloguesque. Il fallait bien qu'un jour je vous fasse partager ses plaisirs lyonnais. Je l'aurais pris de vitesse puisque qu'une autre note devrait bientôt arriver.




C’était un soir de juillet dernier. Une nuit douce sur Lyon et les hauteurs de la colline de Fourvière. Théâtre Antique et sérénité de ces moments partagés avec la personne que l’on aime, avec des amis cools - parce qu’on peut aussi avoir des amis pour le speed et des fréquentations jugées mauvaises non ? . Retour sur scène, après 15 ans off, et en France de Leonard Cohen. Quelques mois plus tard il passera par l’Olympia.
Mais ce cadre lui allait vraiment bien. Elegance surannée d’un costume gris relevée d’un chapeau mou qu’il est prompt à soulever, le songwriter revisite son oeuvre dans des arrangements parfaitement maitrisés par son groupe de musiciens. On se surprend même à guetter l’imperfection, un peu plus de nudité du son qui renverrait à l’âpreté supposée d’une ballade acoustique folk-song. Mais la vois grave et suave enveloppe si bien les travées qu’elle en fait oublier ce travail musical de perfection. Charme, humour, distance: la présence est tout aussi discrète qu’évidente.
C’est ce qu’entreprennent de restituer le double album et le DVD “Live in London” sortis cette semaine. Sur son site (http://www.leonardcohen.com/) Leonard Cohen propose quelques vidéeos musicales mais aussi des petites réflexions et des mini-bouts de backstage. L’occasion de retrouver le Hallelujah ci-dessous.
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[JUB] The dIPLOMAT

1.4.09 mis en ligne par Jub
Vous savez bien que je kiffe aller voir des concerts.
Que j’en suis un junkie complet d’ailleurs.
Si je n’ai pas ma dose hebdomadaire, je me sens mal.



Et vous savez aussi que j’adore écrire ce que j’y ressens.
J’essaie à chaque fois d’être juste.
Sincère, sans être méchant ni conciliant.

Mais je n’ai aucune relation personnelle avec les artistes que je vais voir.
Je connais leur musique mais je ne les connais pas pour autant.
Je n’ai jamais à me demander si ce que je peux penser va leur plaire quand le show m’a déplu…
Ou m’assurer que je reste bien impartial quand le show était énorme!

J’avais déjà eu un questionnement similaire quand j’avais vu The dIPLOMAT la première fois.
Mais je découvrais leur musique à l’époque.

Presque un an plus tard, au-delà de l’amitié que je leur porte individuellement, ils sont juste un des nombreux groupes qui occupent mon IPod.
Pas un des essentiels que j’écoute toutes les semaines certes.
Mais un de ceux que j’ai suffisamment écouté pour pouvoir identifier chaque morceau après quelques notes.
Et même mimer avec ma bouche chacun des mots de leurs chansons.

Alors, j’étais heureux de les voir enfin à Paris.
Heureux pour eux en premier lieu évidemment.
Mais heureux aussi d’aller voir un concert d’un groupe que j’aime bien tout simplement.

Et puis, j’étais content que leur concert arrive juste après celui d’un autre groupe encore jeune.
Pour disposer d’une comparaison immédiate
Bien sûr, jouer devant 1000 personnes à l’Elysée Montmartre n’est pas pleinement comparable à un concert plus intimiste au Réservoir.
Mais même considérant cela, il n’y a pas photo !
Si c’était la Nouvelle Star, The dIPLOMAT aurait juste éliminé The Virgins en une seule chanson sans personne pour soutenir le contraire.

Alors, qu’est-ce que je peux vous dire de plus que ça ?
Que j’ai sautillé comme un ado pendant presque tout le show ?
Que la dernière fois que ça m’était arrivé, c’était pendant le concert de The Kills ?
Que j’ai l’air de Messiah of the Nineties dans la tête depuis ce matin ?
Je ne peux rien vous dire de plus que ça... Vraiment. Fallait y être quoi!

Pour les images, allez faire un tout par ici
Pour un extrait de Sentimental Zoo posté en live sur Seesmic pendant le show, allez par là.
Comme d’hab’, vous avez à la fin du billet mon enregistrement du premier morceau, l’énormissime Messiah of the nineties
Le son étant un peu saturé, je vous ordonne d’aller l’écouter sur deezer par ici.

Et je vous annonce enfin que je vais m’occuper personnellement de les faire très vite revenir sur Paris.
Et cette fois-ci, amis lecteurs de karmacoma.fr, de blugture.com ou d’ailleurs, vous serez conviés et vous viendrez !



Playlist : Messiah of the Nineties /A New Beginning / Let Me Be Your Dog / Sentimental Zoo / Last Disco Bitch / Humankind Experience / Spies / Impossible Nineteen / Love On High / On The Radio / Picture Of You
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[JUB] - The Killers

20.3.09 mis en ligne par Fred

The Killers

C’est l’histoire d’un concert qui a débuté la veille.

Sur le marché noir d’un autre concert où le ticket n’est pas descendu en-dessous de 70 Euros…

Et où même mes incertaines tentatives de négoduction avec l’ouvreuse n’aboutirent pas.

Si j’avais pu entrer voir Franz Ferdinand à l’Olympia ce mercredi soir, peut-être que repu, j’aurais abandonné l’idée d’aller voir The Killers le lendemain.

Mais j’avais une revanche à prendre sur ce marché noir.

Et après une heure de poker menteur avec ces traders d’un autre genre, toujours ces mêmes hommes que je croise d’un spectacle à l’autre, mafia de proximité pour laquelle j’ai pourtant une certaine tendresse, c’est une jolie anglaise qui me cède le sésame à prix cassé que j’étais venu chercher.

Malgré cette modeste revanche, je ne débute pourtant pas ce concert dans les meilleures dispositions. La faute à ce handicap social étrange et agaçant, qui m’empêcha de demander le numéro que le regard de l’anglaise me proposait pourtant de réclamer…

Et du coup, j’étais un peu ronchon quand ces 4 ricains ont déboulé grandiloquents sur la scène du Zénith…

A tel point, que je me suis laissé allé à quelques attaques personnelles sans intérêt…

“Merde…

Le chanteur, on dirait le fils caché de Bénabar et de Jérôme Kerviel!

Et le guitariste, personne ne lui a dit que Brian May n’était plus franchement in!

Le bassiste? Merde, ils ont libéré un des Eagles ou quoi? Moi qui pensait qu’ils avaient fini par tous les enfermer…

Le batteur? Kris Novoselic, le bassiste de Nirvana, avec quelques big Mac en trop…”

Me voici donc à me focaliser sur la curieuse hétérogénéité stylistique de ces 4 mecs plutôt qu’être attentif à leur performance scénique intrinsèque!


Après un Somebody Told Me qui paraît bon an, mal an, lancer la machine, un saxophoniste fait son apparition sur le fond de la scène…

“Mais… Mais dégage de là mec! Va-t’en, c’est du Rock tout de même que diable!”

Bref, me voilà, mauvaise tête, après une demie-heure de concert à consulter gmail et twitter ayant abandonné l’idée que ce groupe pouvait me plaire…

Et puis, subrepticement, j’ai dû baisser la garde…

Petit à petit, The Killers a forcé ma coquille d’huître pour que s’insère en moi l’idée que, peut-être, une perle est devant moi…

Et quand les premières notes de Mr Brightside résonnent, je constate que mes jambes sautillent depuis un moment déjà. Et mes bras peuvent alors s’envoler…

Quand dans la foulée, au milieu de All These Things That I’ve Done, les lumières se rallument un instant, et exposent à ma vue un Zénith surchauffé du premier rang au tout dernier-rang-tout-là-bas-en-haut, je me dis qu’il n’y a apparemment que moi qui fait ma mauvaise tête.

7000 personnes sont en transe, et il est peu probable qu’il s’agisse d’une hallucination collective…

“Laisses-toi aller mec!”

Et c’est ainsi que j’ai fini par aimer ce concert.

Jusqu’à ce Jenny was a friend of mine jouissif et ce When You Were Young suite auquel on ne réclame plus rien.

Repu, j’étais enfin… et tant pis pour Franz Ferdinand!





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[JUB] - Pete Doherty

11.3.09 mis en ligne par Fred

Pete with Graham Coxon (Blur) on stage

Ce n’est pas simple de raconter comment on a vécu sa soirée avec une légende…

Car ce n’est pas anodin de voir le concert d’un artiste que je suspecte d’être en train de laisser une empreinte durable sur la scène rock.

Je dois confier ne pas bien connaitre l’oeuvre de Doherty.

J’écoute le premier album des Libertines de temps à autre, n’ai jamais trop fait l’effort d’entrer dans ceux des Babyshambles, et apprécie les derniers morceaux qu’il a sortis en solo.

Du coup, je croyais naïvement que Pete Doherty s’était assagi ces derniers temps.

Peut-être parce-que j’entendais moins parler de ses frasques dans les médias grand public…

Je le croyais jusqu’à ce que, alors que je réclamais une bière au bar du Bataclan, je l’aperçoive au loin assurer une entracte superflu entre deux des premières parties assurées par ses musiciens.

Le bougre titubait déjà bien bas, et je me mis à envisager que son set ne dure guère plus de quelques morceaux…

Mais le plus déconcertant, le plus phénoménal, et ainsi le plus gracieux, chez ce Pete Doherty de légende, c’est que la guitare et le micro semblent lui faire l’effet immédiat de 3 paquets d’Aspro 1000.

Tout au long de ce show, je suis resté scotché par l’absence de fausses notes, et surtout par la perfection du chant de Doherty.

You’re my waterloo en guise intro en solo acoustique est absolument magique et s’enchaine avec un duo de guitare somptueux par Mr Graham Coxon himself sur Arcady.

Allez, j’ose… Il y a quelque chose de Dylan chez cet animal là.

Alors bien sûr, en fan historique de Blur, j’ai kiffé de voir sur scène ce bon vieux Graham, ce guitariste hors-pair-sans-en-avoir-l’air.

Mais avant tout, j’ai été bluffé par ce mec au sommet de son art.

Ce mec et sa si élégante facilité quand il enchaine ces deux vieux morceaux des Libertines Music When The Lights Go Out et Good Old Days.

J’en arrive à me demander si son attitude rock’n'roll n’est pas surjouée.

Mais tout au long du set, l’animal a continué à s’enfiler cocktails et clopes, tout en entrelaçant comme un ange ses arpèges et sa voix.

Et quand je le vois quitter la scène juste après Time for Heroes les genoux bien bas, après avoir jeté son médiator dans la foule, il est clair qu’il est bien déchiré.

Car il faut qu’un roadie lui rappelle doucement qu’il faudrait jouer le dernier morceau prévu…

Fuck Forever des Babyshambles enflamme alors les mollets du public du Bataclan.

Avant que Pete ne s’en aille pour de bon…

Nous restons tous sur le cul, conscients sans doute d’avoir assisté à un concert exceptionnel de la dernière légende du rock.

Merci à Patrice Guinot et au blog rockerparis pour cette magnifique photo.

Merci à Oliver Peel pour la playlist réelle un peu différente de celle initialement prévue et que j’ai photographié à la fin du concert.


Playlist : You’re My Waterloo (Libertines) / Arcady / Last Of The English Roses / 1939 Returning / A Little Death Around The Eyes / Salome / Through The Looking Glass / Palace Of Bone / Music When The Lights Go Out (Libertines) / Good Old Days (Libertines) / I Am The Rain / Sheepskin Tearaway (with Dot Allison) / Lady Don’t Fall Backwards / Sweet By And By Drew / New Love Grows On Trees / Broken Love Song / Albion /// Back From The Dead (Babyshambles) / Side Of The Road (Babyshambles) / Time For Heroes (Libertines) / Fuck Forever (Babyshambles)

Ceci est un billet de l'auteur du blog Karmacoma.fr.
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Hype et compte rendu rapide de la soirée Jamendo

1.12.08 mis en ligne par Fred
Voilà presqu'une semaine que la soirée a eu lieu et j'ai à peine eu le temps de me poser sérieusement pour mettre en forme toutes les interviews que j'ai pu faire pendant cette soirée ..

Hype Jamendo par vous
J'en ai beaucoup appris sur le fonctionnement de Jamendo - Site de musique libre en ligne - et cela nécessiterait un article conséquent.

Drunksouls @ Jamendo par vous

Donc je vais me permettre de ne mettre que les photos et liens des personnes formidables que j'ai croisées pendant cette soirée. Et je ferai les choses plus sérieusement un poil plus tard.
Toutes les autres photos sont .




Les interviews de Vavrek , Hype et Laurent skatz arrivent, promis !

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Le live sur internet d'un opéra hymne à la nature : La Petite Renarde rusée

31.10.08 mis en ligne par Fred
L'opéra de Paris va nous concocter le live ( gratuit ) d'un Opéra ce Mardi 4 Novembre : La petite renarde rusée de Leoš Janáček et dirigée par Dennis Russel Davies.

la petite renarde rusée par bladsurb
cc : bladsurb

Rendez-vous mardi 4 novembre à partir de 19h30 sur WWW.OPERADEPARIS.FR

C'est l'histoire d'une renarde, interprétée par la jeune cantatrice russe Elena Tsallagova (Interview ici), qui a travers les  batailles de sa vie nous mènent de l'émancipation au couple puis  à la famille et enfin à la mort en passant par les différents heurts de l'existence. Cette mise en scène adaptée de la création au Théatre des Champs élysée en 2002  est très ludiques comme ces quelques vidéo vont pouvoir vous le montrer puisque les enfants sont invités avec une place gratuite offerte pour une adulte payée.

Je vous encourage à la regarder ne serait-ce que pour profiter de l'excellent travail de coproduction de l'opéra de la Bastille et les encourager dans ces démarches d'ouvertures vers un peu plus de public.. Ensuite nous déiscuterons du résultat de cette première ( en espérant que ce ne soit pas qu'une expérience ... )




(via Marie de la boite à sortie)
J'ai également piqué des infos .

et puis aussi je pourrai pas le voir parce que je serai en Interview... hé hé ..
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